La Sentinelle du Phénix Blanc
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 Le Livre des Rancunes

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Ethil Rodeur
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Ethil Rodeur


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MessageSujet: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitimeMar 9 Mar - 21:30

Prologue :

« Seigneur, où le cacherons-nous ? Si le Maître Suprême le trouve, sa vengeance sera…terrible et inimaginable.
-Dans un endroit scellé par la magie et qu’il ne pourra trouver. Le Cercle de la Lumière ! »
Le Cercle formé d’inscriptions étranges sur lequel les Margonites se dressaient éclata soudain d’une lumière vive et pure. Les inscriptions sombres et mal éclairées se révélèrent dans toute leur gloire, un dialecte margonite ancien qui disait : « Ici sera dressé le Livre des Rancunes du peuple Margonite, pour que jamais ne soit oublié notre histoire » et en dessous de l’inscription principale on pouvait lire : « Seuls les vrais Dieux détiennent le véritable pouvoir, et nous qui avons été asservis plus jamais nous ne le connaîtront. Que celui qui lit ces lignes se rappelle de ceci, et la Lumière sera restaurée, et le feu vengeur sera retrouvé. Que vivent les Dieux, que vivent les étoiles et que périssent les ombres en ce royaume, la beauté perdue sera retrouvée ».
Un coup sourd retenti dans l’alcôve où ils se trouvaient et les murs tremblèrent depuis les fondations qui s’enfonçaient dans les profondeurs du royaume.
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Ethil Rodeur
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Ethil Rodeur


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MessageSujet: Re: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitimeMar 9 Mar - 23:02

Le Livre des Rancunes

Prologue :
« Seigneur, où le cacherons-nous ? Si le Maître Suprême le trouve, sa vengeance sera…terrible et inimaginable.
-Dans un endroit scellé par la magie et qu’il ne pourra trouver. Le Cercle de la Lumière ! »
Le Cercle formé d’inscriptions étranges sur lequel les Margonites se dressaient éclata soudain d’une lumière vive et pure. Les inscriptions sombres et mal éclairées se révélèrent dans toute leur gloire, un dialecte margonite ancien qui disait : « Ici sera dressé le Livre des Rancunes du peuple Margonite, pour que jamais ne soit oublié notre histoire » et en dessous de l’inscription principale on pouvait lire : « Seuls les vrais Dieux détiennent le véritable pouvoir, et nous qui avons été asservis plus jamais nous ne le connaîtront. Que celui qui lit ces lignes se rappelle de ceci, et la Lumière sera restaurée, et le feu vengeur sera révélé. Que vivent les Dieux, que vivent les étoiles et que périssent les ombres en ce royaume, la beauté perdue sera retrouvée ».
Un coup sourd retenti dans l’alcôve où ils se trouvaient et les murs tremblèrent depuis les fondations qui s’enfonçaient dans les profondeurs du royaume.


Chapitre 1 : Voyage au cœur du Tourment

Près de mille ans après ces évènements, non loin de l’endroit même où ces paroles retentirent, un petit groupe d’aventuriers courageux se frayaient un chemin dans le Domaine de la Peur, au cœur même du Tourment. Même si Abaddon fut défait et Mallyx de même quelques temps auparavant, le tourment continuait de vivre grâce à plusieurs Seigneurs du Tourment qui s’élevèrent les uns après les autres. Ces chefs, trop disparates et peu enclins à s’unifier, ne purent jamais former une force et une puissance assez conséquente pour ouvrir une brèche dans le monde de lumière. Même si la Grande Obscurité avait réussi grâce à l’aide de rénégats Kournans et de Margonites il y a de cela deux semaines, Elle avait été mise en échec par l’Armée de l’Est d’Elona et par l’Elementaliste Loki. Toutefois ce récit ne s’attarde pas sur ces faits, qui sont contés ailleurs.

Ce petit groupe, qui avait pour mission que l’évènement tragique ayant eu lieu il y a de cela deux semaines ne se reproduise pas, était mené par Ethil, le Maréchal des Lanciers du Soleil et le Héros de la bataille de Kodash. Avec lui venait son officier le plus fidèle mais aussi le plus inexpérimenté, Nomokor Itan, un rôdeur talentueux qui selon le Maréchal devait sans conteste : « Faire ses preuves dans ce bas monde froid et cruel qu’est la Tyrie… ». Les accompagnait quatre gardes de la Sentinelle Du Phénix Blanc nommés Thyalis, Ayaron, Maethros et Periliniath.

Thyalis et Ayaron étaient deux guerriers aux bras solides, grands de près de deux mètres et aux yeux gris de mer inflexibles. Ils étaient frères et avaient tout deux connus une ascension fulgurante dans l’Ordre au point de devenir de véritables légendes parmi les hommes. Malgré tout, il existait une légère différence entre les deux frères : si Thyalis, l’ainé, combattait armé d’une épée longue et d’un bouclier imposant, Ayaron, le cadet, se défendait à l’aide de deux longues lames à tranchant unique, s’inspirant des Assassins Canthiens. En dépit de toutes ces qualités, les deux frères vénéraient et respectaient tous deux les ordres et les principes du Maréchal, qui en retour leur faisait aveuglément confiance.

Maethros était un jeune envouteur talentueux et prometteur, qui n’était entré dans l’Ordre que très récemment et avait rapidement attiré l’attention du Maréchal par des sorts d’une complexité digne des plus grands casse-tête – il savait notamment reproduire une armée en charge et obligé ses ennemis à lui obéir, « pour le meilleur ou pour le pire » disait-il.

Enfin, Periliniath se faisait connaître de par son ascendance noble et célèbre, il était le fils cadet du Prince Methu le Sage, mais n’étant pas destiné au trône il s’entraîna à la guérison et la magie divine. Ce moine chaleureux et sage restait simple malgré sa noble parenté, ne demandant rien d’autre qu’à manger à ceux qu’il soignait et ne refusait jamais de se mettre dans le rouge si une petite blessure pouvait être soignée. « Les mortels ne devraient jamais connaître la douleur, et je me suis mis en tête de réparer cette erreur » répétait-il à ceux qu’il soignait. Il était l’image même du héros canthien Karei, et on s’étonnait encore que comme lui il n’est pas reçu la visite d’un Dieu.

Malgré tous les immenses talents que possédait ce groupe, le voyage dans le tourment s’avérait difficile et dangereux, Thyalis et Ayaron ayant déjà été blessés à plusieurs reprises, l’un au bras droit et l’autre à la cuisse gauche. Les balafres n’avaient pas épargnés Maethros qui en dépit du mur d’illusion qu’il avait crée devant le démon qu’il affrontait avait été touché d’un coup d’estoc au cuir chevelu. Une longue cicatrice courait désormais sur sa tempe, mais il en était non moins résolu. Ils se dirigaient toutefois vers la Porte des Secrets, où ils espéraient trouver des informations sur les Seigneurs du Tourment et sur un moyen de les anéantir.

Le soir venu, au coin du feu, les deux frères se livraient à un duel acharné sous les yeux des autres membres du groupe. Mais tous savaient que si le combat promettait d’être long et acharné, Ayaron perdrait au bout du compte, car il n’avait pas l’endurance de son frère ainé et ses deux lames n’étaient pas faites pour rencontrer un obstacle de la taille du bouclier de Thyalis. Soudain un bruit mat retentit et une des lames d’Ayaron s’enfonça dans le bouclier de Thyalis.
« Mon frère, je t’ai déjà dit que si tu défonçais mon bouclier une fois de plus, je te décapiterai, dit Thyalis sans aucune émotion.
-Mon frère, t’ai-je déjà dit que je t’aime, répliqua Ayaron en retirant sa lame d’un coup sec, mais malgré tout je n’avouerai que je ne comprends pas pourquoi tu ne renforces pas ce bouclier minable comme je te l’ai déjà dit ?
Alors d’un coup d’épée puissant, l’ainé envoya voltiger une des lames du cadet, puis d’un coup féroce du bouclier il envoya valser la seconde.
-Mais il n’en a pas besoin, mon frère. »
Surpris par la répartie cinglante et foudroyante du frère ainé, les autres membres du groupe se mirent à rire de bon cœur, sauf le pauvre Ayaron qui était parti ramassé ses lames. Il faisait noir, et n’y voyant pas très clair il éclaira l’endroit d’un éclair de magie – chose qu’il ne faisait que très rarement étant donné la perte d’énergie engendrée – qui se révéla à ses yeux. Une des lames était la, posée sur le sol, et l’autre était plantée dans un amas rocheux et boueux. Il tira de toutes ces forces et la lame ne bougea pas. Il s’arque bouta dessus, s’assis dessus, rien n’y faisait. Alors il dégagea un peu de terre et de boue et d’un geste sec il renouvela l’expérience. L’épée se dégagea facilement et le guerrier tomba à terre. L’amas dans lequel l’arme était plantée s’écroula, révélant une ouverture sous la colline où il se trouvait. Un écriteau margonite fait de métal noir que ces créatures utilisaient se montra, et comme seul Ethil pouvait lire le Margonite antique, Ayaron décida de le prévenir. Il courut vers le campement et ralentissant le pas en s’approchant du Maréchal, il s’installa sans un bruit à côté du Maréchal :
« J’ai découvert quelque chose d’important là bas, près de la colline.
-Je viens, répondit calmement Ethil.

Ils se dirigèrent tous les deux vers l’endroit où Ayaron avait dégagé l’écriteau, et celui-ci le montra au Maréchal du doigt :
- Tu peux le déchiffrer ?
- Je crois bien que oui, tiens moi ça, dit-il en lui passant une torche bleutée.
Ethil regarda l’inscription et se remémora ses cours d’histoire du temps où il étudiait à Ascalon – qui était sans aucun doute la meilleure université de toute la Tyrie. Le trait là, c’est un P, celui-ci un O, celui-là un…Il continua ainsi pendant quelques minutes, se remémorant par la même occasion chaque instant qui accompagnait ces symboles, les cours au bord de l’étang, la visite terrifiante dans les catacombes de l’Université, les cours d’armes où il remportait tous les concours de tir…
- Ethil ?
Il acheva rapidement son déchiffrage par un dernier symbole, un oiseau dont les ailes étaient repliées sur le corps et traduisit :
- Il est écrit : « Porte des Secrets, ici nous nous cachâmes et ici tu nous trouveras. Avance-toi qui as découvert ce message car nous venger tu pourras. »
- Si je comprends bien toi seul peut entrer ?
- Amène le groupe et dis leurs de me suivre, répondit-il sans prendre gare à sa question.
- Mais…bon d’accord.

Pendant qu’Ayaron allait prévenir les autres, Ethil entra dans la Porte des Secrets. Il remarqua tout de suite les hauts bâtiments noirs couverts de reflets violacées, œuvres margonites sans aucun doute. Au centre de cette ville inhabitée, un petit espace était dégagé. Au centre se trouvait une sorte de temple ou d’autel couvert d’inscriptions sombres et étranges. Ethil commença par déchiffrer ce que disais le bas de l’inscription. Il réussit à tout traduire mais ne parvînt pas à donner du sens à ce qu’il avait traduit.
« Seuls les vrais Dieux détiennent le véritable pouvoir, et nous qui avons été asservis plus jamais nous ne le connaîtront. Que celui qui lit ces lignes se rappelle de ceci, et la Lumière sera restaurée, et le feu vengeur sera révélé. Que vivent les Dieux, que vivent les étoiles et que périssent les ombres en ce royaume, la beauté perdue sera retrouvée ».
-Intéressant, se dit-il pour lui-même, seuls les vrais Dieux, cela date donc d’avant la chute d’Abaddon. Asservis ? Mais par qui ? La Lumière sera restaurée, et le feu vengeur sera révélé…la beauté perdue sera retrouvée… Ils ont sans doute été asservis par Abaddon, et ne sachant plus se libérer de son joug, ils ont sûrement voulu mettre en garde et se venger du Dieu maléfique. Ils….justement qui sont ces « ils » ?
S’attaquant à la deuxième partie, où il pensait trouver la clé de cette énigme indéchiffrable, il ne vit pas arriver ses compagnons.
« Tu as trouvé quelque cho…, commença Nomokor .
Un coup sourd qui venait des profondeurs de la terre monta jusqu’à l’autel.
- Qu’est-ce que c’est ! s’effraya Thyalis
-Des démons, et si tu veux mon avis, il ne vaudrait mieux pas s’attarder ici, répondit Maethros.
- Trop tard, ils arrivent, allumez des torches, mettez vous dos à dos et préparez vous à les repousser, ordonna Ethil, j’ai besoin que cet autel soit intact. »

Un deuxième coup sourd arriva, suivi plus rapidement d’un troisième, comme si la cadence s’accélérait peu à peu. Un quatrième suivi, qui fit trembler plus que jamais les fondations de la salle. Le cinquième fut tellement puissant, que le sol et la porte ouest de la salle volèrent en éclats, et le petit groupe qui attendait courageusement au centre aperçurent leurs assaillants. Quelques démons suivis par des Titans, tous marqués de l’emblème d’Abaddon, pourtant mort il y a de cela plus de cinq ans.
« Vite, tuez-les avant qu’ils ne trouvent le livre ! Abattez-les ! hurla un des démons d’une voix caverneuse.
- Ils veulent juste récupérer l’autel et nous empêcher de découvrir quelque chose…retenez-les pendant que j’essaye de récupérer ce qu’ils redoutent tant. Peut-être que cela les mettra en déroute ? suggéra Ethil.
- Essaye de te dépêcher, on ne va pas tenir longtemps, répondit Periliniath, qui pourtant si calme d’habitude paraissait angoissé. »

Chapitre 2 : La bataille du Cercle de Lumière


Les démons s’élancèrent sur les Lanciers dos à dos, comme un lion s’abat sur sa proie. Les deux frères se mirent en posture de combat, Thyalis protégeant son cadet de son large bouclier, et Ayaron préparant ses lames avides de sang à frapper. Maethros créa un nuage violet autour du Maréchal pour lui éviter de se retrouver criblé de flèches pendant qu’il cherchait un moyen de tous les sauver. Nomokor encocha une flèche dans son arc, et le banda à l’extrême. Il relacha la corde d’un geste souple, et la flèche mourut dans la gorge d’un démon-loup qui poussa un râle en expirant. Thyalis encaissa trois flèches de son bouclier, et lorsque la voie fut dégagée, Ayaron fonça sur un archer qui visait Ethil. Lui plantant ses deux longues lames dans la tête, il se dégagea et transperça d’un coup d’estoc un démon qui se lançait sur lui. De son autre lame, il para un coup dirigé vers sa tête, mais ne put éviter la flèche qui arrivait sur ses jambes. Celle-ci fut déviée au dernier moment par la magie divine du moine Periliniath. Thyalis courru jusqu'à son frère enseveli sous une poignée de démon, et détendant tout son bras gauche d’un large revers, il projeta trois démons dans les abysses du tourment. Mais le choc le laissa vulnérable quelques instants, et un démon de forme mi-humaine mi-bestiale tendit sa lame vers le guerrier. Celui-ci d’un geste désespéré prit le bras de son adversaire, et avec force retourna la lame contre l’être maléfique. Voyant la garde dépassant de son ventre, il tomba à la renverse d’un bruit sourd.

De leur côté, Nomokor et Maethros étaient engagés dans une lutte féroce pour repousser les démons qui sortaient du sol, et qui essayaient de prendre le contrôle de l’autel. Nomokor élimina rapidement deux créatures de deux flèches dans la gorge, et le sang noir jallit en gargouillant de leurs gorges brûlantes. Maethros obligea un des démons à abattre ses congénères dans le dos, ce qui provoqua un vent de panique chez ses ennemis. Mais le traître fut rapidement exécuté, et l’assaut reprit.
Un démon visait Ethil debout sur l’autel, et Nomokor trop lent ne put l’abattre. La flèche décolla de l’arc noir qu’il tenait, mais le trait ne s’enfonça pas dans le pauvre rôdeur qui ne se doutait de rien. Celle-ci s’arrêta, s’embrasa d’une lumière divine et fit exploser le tireur en le projetant dans les airs à travers la pièce. Des lambeaux de chairs carbonisés fumaient de son corps brûlé. L’auteur de cette riposte destructrice était Periliniath, son bâton magique brillant dans sa main, et d’un geste de la tête il ordonna de continuer le combat. Maethros se retourna, et ne put rien faire lorsque cinq griffes s’emparèrent de sa gorge en serrant impitoyablement. Mais Nomokor, voyant l’envouteur en danger, encocha deux flèches et tira sur le démon qui l’étranglait. Le coup fut parfaitement réussi et la force combinée des deux traits toucha les jambes du monstre qui tomba à terre. Maethros l’acheva d’un coup de bâton sur la tempe, et l’os du crâne se rompit.

Les compagnons redoublèrent d’effort pour abattre les créatures sans pitié. Nomokor encocha trois flèches et les tira sur trois démons qui courraient vers lui. La volée toucha sa cible et les trois monstres disparurent dans l’abîme des profondeurs du tourment. Thyalis et Ayaron couvrirent le champ de bataille de cadavres en se complétant : là où l’ainé défendait et résistait aux assauts des démons, le cadet les massacraient et ses lames semblèrent hurler de joie en fumant du sang de ses ennemis. Mais l’embuscade tourna mal pour les humains, et les titans commencèrent à causer de gros dégâts dans la salle. Maethros fut projeté en l’air, et il s’en fallu d’un cheveu pour que sa tête rencontre l’un des piquants qui ornementaient le corps d’un titan. Un second titan s’approcha de Periliniath , mais le moine avait anticipé le coup et s’était jeté entre les jambes de la bête gigantesque. Il la perfora d’un rayon d’énergie divine et celle-ci explosa dans un souffle impressionnant. Tous les humains et les démons tombèrent au sol et se relevèrent rapidement, près à en découdre les uns des autres.

Pendant-ce temps là, Ethil avait déchiffré la seconde partie du message et essayait de résoudre l’énigme.
« Voyons, les Margonites sont des serviteurs d’Abaddon…mais alors pourquoi parlent-ils des Vrais Dieux ? La Lumière sera restaurée…peut-être qu’il faut faire de la lumière ? Non ce serait totale…il s’interrompit lorsqu’une flèche toucha la pierre près de lui puis repris sa réflexion, … totalement ridicule. Que celui qui lit ces lignes se rappelle de ceci…que seuls les Vrais Dieux comptent ? Dans ce cas, que fait-on pour honorer les dieux ? On prie ? Oui c’est ca ! J’ai trouvé ! »

Mais pendant ce temps là les choses tournaient mal pour les héros, Nomokor avait été blessé à l’épaule, Periliniath était épuisé et n’avait pu soigner une entaille à la tête qu’il s’était fait en trébuchant. Maethros avait quand à lui disparu dans un éclair violet, et n’était toujours pas réapparu, et Thyalis avait le bras qui tenait son bouclier totalement ankylosé des chocs répétés des démons. Seul Ayaron n’éprouvait aucune fatigue, massacrant impitoyablement l’ennemi de ses deux lames argentées.
Un titan renversa Nomokor, et Periliniath se trouvant hors de portée ne pouvais le protéger du coup à venir. Alors, croyant sa dernière heure venue Nomokor roula sur le côté en dégainant une dague…qui ne servie jamais. A ce moment là les monstres qui les attaquaient furent pris d’un doute soudain et tous reculèrent vers la Porte de la salle. Devant eux, se tenait Ethil, agenouillé sur l’autel qui désormais resplendissait d’une lumière éblouissante.

Le Livre des Rancunes Gw04213

« Il suffisait de s’agenouiller sur le centre du cercle, dit-il en se relevant.
Les monstres s’enfuirent tous, sauf un qui avant de partir lança un bout de tissu par terre avant de filer par la porte. Ethil se releva et pris le bout de tissu entre ses doigts, le caressant légèrement tout en demandant :
- Quelqu’un sait ou est Maethros ?
-Non, pourquoi ? demanda Nomokor
- Car ce bout de tissu est à lui ! répondit-il avec rage. Soit ils l’ont tué, soit ils l’ont enlevé.
- Lui, mort ? C’est absolument impossible, je l’ai vu disparaître dans un éclat violet, pas attachés aux mains d’un démon !
-Je jure devant tous les Dieux de le retrouver s’il a été enlevé, ou de le venger jusqu’au dernier de ses bourreaux, cria Ethil. »
Mais là-dessus, un livre dont la couverture était violette sortie de l’autel toujours lumineux. Ne sachant que faire, Ethil le saisit à deux mains, de peur qu’il ne tombe et s’effrite. Aussitôt après, des barreaux tombèrent tout autour de l’autel, enfermant les inscriptions derrière un mur impénétrable.

Installant le camp près de la Porte, Thyalis et Ayaron s’endromirent aussitôt en essayant de ne pas penser à leur ami, sûrement mort. Periliniath commença son tour de garde et Nomokor rêvassa quelques instants avant de s’endormir. A la fin, lorsque même le courageux moine s’endormit, Ethil resta seul à veiller. Il décida de se plonger dans la lecture du Livre, qui heureusement pour lui était écrit non pas dans l’ancienne langue margonite, mais dans un dialecte humain d’Elona. Il regarda la première page, où était inscrit en grosse lettres d’or et d’argent : Le Livre des Rancunes et plus bas en plus petit : Voici notre livre des rancunes, pour que jamais ne soit oubliés nos griefs.
L’écriture du début était soignée et propre. Quelques tâches coupaient certains mots mais cela ne gênait nullement la compréhension du texte. Ethil s’attarda plusieurs minutes sur les premières pages, où un homme appelé Menegoth de Vejin racontait sa vie dans la lointaine Vabbi. Expériences militaires, amoureuses, politiques, tout y passait et sans lésiner sur les détails. Ethil arriva à la moitié du livre rapidement et à ce moment l’histoire de Menegoth et de son peuple prit un tournant surprenant. Voici ce qu’écrivait Menegoth :
« Personne ne savait que notre allégance au Seigneur tout Puissant nous coûterait notre liberté et nous priverait du repos éternel. Le Dieu Abaddon se présenta à nous par l’intermédiaire d’un émissaire alors que nous campions dans un désert à l’ouest de Vabbi. Ce dernier, une forme humaine et sombre enveloppée d’une lueur violette, nous annonça que son Seigneur nous offrirait gloire et richesse si nous acceptions de le servir. Ce qu’il n’avoua pas en revanche, c’est que ce serment liait nos âmes pour l’éternité et qu’il n’y aurait aucun moyen de s’y soustraire.
Nos chefs ne comprirent ça que trop tard, et lorsqu’ils donnèrent leur réponse à l’Emissaire il était déjà trop tard pour revenir en arrière. L’Emissaire nous envoya dans le Royaume du Tourment grâce à une brèche qu’il créa sous nos yeux. Pendant de longues années, nous combattirent pour Abaddon en pensant défendre ce que nous croyions juste. Le poids des années de guerre contre les parias qui se trouvaient dans le Tourment transforma notre peuple. Nous devinrent plus austères, plus agressifs, des conflits éclataient pour le pouvoir. Nous cessâmes d’être le peuple nomade que nous étions, pour devenir les Margonites, les gardiens du tourment, les serviteurs d’Abaddon, ses esclaves. Notre peau devînt translucide, des reflets violacés commencèrent à parcourir ce semblant de chair qu’ils nous restaient. Nous couvrîmes nos visages par des masques à l’effigie de notre bourreau, le Dieu des secrets, en signe de pénitence. Et nos âmes ne firent plus qu’une avec celle de notre Maître, mais différend de lui malgré tout, nos esprits ne trouveront jamais le repos, à moins qu’il ne nous soit accordé par les Vrais Dieux. Nous sommes et nous resterons à jamais condamnés
. »

Chapitre 3 : Seul dans les ténèbres

« Enfin je comprends la vraie nature de mes ennemis. Comme je les plains, esclaves à tout jamais, même après que leur Maître soit mort. Aucun châtiment n’est plus terrible que cela. Même le pire des ennemis, ne mérite pas ça…murmura Ethil. J’ai pitié d’eux…
A peine avait-il son murmure qu’une lueur blanche tremblota dans la lumière du feu mourant. Un corps se dessina, puis des bras, des jambes, et un visage…humain semblait-il.
-Bizarre, tu es une créature bizarre…il y a de la colère en toi, de la haine et d’autres émotions mauvaises…Mhhh…murmura-t-elle.
- Qui es-tu ? demanda Ethil.
- Mais tu es intelligent, sage, fort, miséricordieux et bon. Et surtout…tu ne connais pas la peur ! Tu feras l’affaire mon ami, tu feras l’affaire, continua le fantôme sans prendre garde à sa question
- Allons, dis-moi qui tu es, répéta Ethil plus fort.
- Moi ? Je suis Menegoth de Vejin, l’auteur du Livre que tu tiens entre tes mains. Je suis venu pour lever tes doutes et tes questions. Ton ami qui a été enlevé a été livré aux Margonites, près du temple des Six Dieux. Hâte-toi et il vivra, mais si tu traînes, les Margonites seront sans pitié.
Il se retourna et s’apprêta à partir lorsqu’il se souvînt d’un détail :
- Et n’oublie pas, lorsque tu seras devant les Avatars des Dieux, n’oublie pas qu’eux aussi possèdent des sentiments… Sur ce, bonne journée, acheva-t-il avant de se dissiper dans l’éther. »

Quelques heures après Ethil raconta les évènements de la veille à ses compagnons et s’apprêta à partir.
« Surtout n’oubliez pas, vous restez-là et vous attendez mon retour, répéta-t-il pour la quinzième fois.
- Bien sûr, par sans crainte et ne revient qu’avec Maethros, répondit Nomokor. Et ramène à boire si tu peux ! cria-t-il avant qu’il ne disparaisse dans les ténèbres. »

Ethil marcha longuement pendant les heures qui suivaient. Il savait où il allait, car il était déjà allé au Temple des Six Dieux, lorsqu’il menait sa campagne contre Abaddon accompagné de Kormir, la nouvelle Déesse des Secrets. A cet endroit les avatars leur étaient apparus et leur avait dit que le pouvoir de chaque Dieu résidait en eux. Sur le moment, Ethil n’avais pas compris le message que leur avait fait passer les Avatars, mais maintenant il comprenait. Melandru réside dans votre harmonie, tel fut l’une des paroles lancé par l’Avatar. Il ne devait pas l’oublier maintenant. Vers la fin de la soirée – comme le pensait Ethil, étant donné que les jours ne passent pas en Royaume du Tourment – Ethil arriva en vue du Temple. Il traversa le pont qui surplombait l’abîme devant le temple, et descendit la colline jusqu’à l’entrée du temple. Alors qu’il marchait, une légion de Margonites sortit du côté de la colline.
« N’ayez peur, élu de Menegoth, nous vous attendions, annoncèrent-ils.
Mais Ethil avait agi par pur réflexe et avait dégainé son épée.
- Pourquoi devrais-je vous faire confiance, Margonites ? demanda Ethil d’un ton glaçial.
- Car c’est ton seul moyen de sauver ton ami, et le seul moyen de nous sauver. Ainsi tu as lu le Livre des Rancunes…ne t’a-t-il dont rien appris ? Nous ne sommes pas les monstres que tu crois ! Regarde et voit si nous sommes des bêtes sans nom !

Une succession d’images défila dans la tête du Rôdeur, chacune plus rapide que l’éclair mais tellement clair qu’elles semblaient durer des heures et des heures. Colonie d’humain marchand dans le désert, batailles gagnées, escarmouches défaites contre des hordes de créatures assoifés de sang, fatigue, douleur, soif, sang et enfin réconfort, réconfort auprès d’un Dieu tout puissant. Et enfin, trahison, une trahison vile et cruelle infligé par le Seigneur du Tourment, le Dieu des Secrets, Abaddon, le sixième Dieu. Ethil tomba à terre, des larmes coulèrent sur ses joues. Lentement, il se releva et parla :
- Vous pouvez compter sur moi, que dois-je faire ? s’enquit-il avec détermination.
- Va au temple, implore les Dieux de libérer nos âmes, c’est la seule chose que nous te demandons contre la vie de ton ami. »

Alors il s’en fut, traversant la Cité Margonite et pénétrant dans le temple. Là Ethil cria de toutes ses forces pour que tous l’entende :
- Je suis venu ici pour libérer un peuple oppressé et condamné à rester prisonnier d’une trahison et d’une malédiction cruelle jetée par Abaddon le Maléfique. Ecoutez mes suppliques, Ô, Dieux de Tyrie. Ce monde que vous avez créé, ces créatures que vous avez fabriquées de vos mains, souffrent autant que vous souffrirez ! A cause d’une erreur, une erreur d’un instant, tout un peuple a été condamné à la servitude, à l’oppression, et à l’esclavage ! Ne leur rendrez-vous pas leur liberté ? Vous vous devez de réparer les torts faits par l’un des vôtres ! La dernière fois, j’ai dû moi, accompagné d’autres, réparer vos erreurs en tuant Abaddon. Maintenant, je ne demande qu’une seule chose, libérer son peuple de sa malédiction, il n’est pas responsable de ses actes ! Je vous ordonne de le libérer ! acheva-t-il en hurlant.
Alors des tréfonds du temple et de la plus haute voûte céleste du ciel, une voix se fit sentir :
- Qui es-tu, mortel, pour oser t’adresser ainsi à tes Dieux ? Qui es-tu pour décider de ce qui doit être fait pas des Dieux ? Parle !
-Ethil, un serviteur dévoué qui a toujours su honorer ce que vous demandiez ! Et je demande, au nom de tout ce que j’ai accompli en votre nom, de libérer ce peuple de la malédiction lancée par Abaddon.

Maintenant il le voyait, fantôme d’un humain impressionnant et musclé. Ses yeux rouges de feu lançaient des éclairs, et dans sa main une lame nue parcourue par des irisations sanguines qui étincelaient dans la lumière du Temple.
Un long silence s’ensuivit, où l’Avatar toisa du regard Ethil, qui ne bronchait pas, tentant de mettre à jour les secrets les plus profonds ancrés dans son âme. Il auscultait chaque partie de sa vie, chaque moment de gloire et d’exploits que nul Dieu n’aurait pu faire avec les mêmes pouvoirs qu’un simple mortel. Son courage et son charisme était digne de celui de Balthazar, sa miséricorde, l’essence même de Dwayna, sa sagesse, reflétait celle de Grenth, et sa franchise, n’était autre que celle de Kormir. Ne pouvant refuser quelque chose à un homme qui n’avait consacré sa vie qu’à répandre la justice des Dieux dans tous les continents de Tyrie, l’Avatar répondit d’une voix imposante :
- Les Dieux sont reconnaissants des exploits que tu as effectués, et en conséquence, nous exaucerons l’un de tes souhaits.
- Libérez le peuple Margonite, c’est tout ce que je demande.
- Qu’il en soit ainsi. »
Et il disparu dans les ténèbres.

Ethil sortit du temple, et traversa la Cité Margonite jusqu’à rencontrer tout le peuple assemblé. Maethros était devant la foule, et attendait son chef de pied ferme.
« Merci, de tout ce que tu as fait. Tu as pris des risques en parlant aux Dieux ainsi, mais c’était le seul moyen de les convaincre, et je ne serais jamais reconnaissant de tout ce que tu as fait pour moi.
- Te voir libre est suffisant à mes yeux, annonça-t-il calmement. Qu’allez-vous faire maintenant, Margonites ?
- Nous allons prendre du repos, oui, un repos éternel que certains d’entre nous ont plus que mérités. Mais votre nom, Ethil le Rôdeur, ne sera pas oublié par notre peuple, et il aura sa place dans le Livre des Rancunes »
S’inclinant profondément, ils disparurent dans un nuage de fumée pour ne jamais être revus sur le continent de la Tyrie.

Epilogue
Ethil revînt au camp avec Maethros et il raconta son périple en territoire Margonite. Quelques jours plus tard, après avoir défait les Seigneurs du Tourment, Periliniath trouva un arbre qui poussait à la porte des secrets, et encore quelques jours plus tard, un tapis d’herbe fraîche se dressait fièrement sur l’autel de Lumière. Ainsi se réalisa la prophétie, la beauté perdu sera retrouvée, et le tourment devînt un royaume béni de verdure et de la nature, et s’appelait désormais le Royaume des Cieux, en hommage au temple qui s’élevait toujours sur la verte colline, mais aussi en hommage à Ethil Rodeur, l’homme qui fut le plus proche des Cieux pour un court instant.


Dernière édition par Ethil Rodeur le Sam 13 Mar - 19:04, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitimeVen 12 Mar - 11:48

Voila, j'ai rajouté le prologue à toute l'histoire pour que vous puissiez tout lire d'un coup, mais pour m'aider j'aimerais que vous me dîtes :
- Si le scénario est bien construit ?
- Si je fais beaucoup de fautes d'ortographe ? Very Happy
- Si je met assez de détails dans les batailles et les moments d'écriture ?
- Et si vous aimez mon style d'écriture, et que vous aimez l'histoire ?
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Merwyn
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MessageSujet: Re: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitimeSam 13 Mar - 14:10

Bon, à priori c'est moi qui commence le massacre^^.
Alors, je trouve le scénario bon sauf à la fin où Ethil va voir les dieux qui font ce qu'il demande sans broncher. Je trouve ça trop facile, car les margonites auraient pu les supplier depuis des années et finir par obtenir leur liberté à force d'insistance.
Désolé, mais tu fais plein de fautes d'orthographe^^.
Personellement, je ne suis pas fan des moments de bataille dans les histoires donc je ne m'estime pas capable de faire un commentaire la dessus (tu vas devoir attendre quelqu'un d'autre).
Je trouve aussi que le personnage d'Ethil est sans cesse accompagné d'adjecifs mélioratifs qui, à la longue deviennent lassant pour moi, mais comme je te connais, je sais que tu ne peux pas t'en empêcher^^. J'ai trouvé aussi des erreurs "spéciales", par exemple tu parles de "l'os du crâne" alors qu'il me semble que le crâne étant un os, on ne puisse le dire (j'en suis par contre pas sûr à 100%); ensuite, tu dis que les margonites ne reviennent plus jamais en Tyrie alors qu'ils n'y sont jamais allés,, tu aurais dû parler d'Elona; et enfin, comment oses-tu dire : "où il étudiait à Ascalon – qui était sans aucun doute la meilleure université de toute la Tyrie."? déjà, on ne peut pas dire "était" mais "avait été" et puis, ça n'a jamais été la meilleure université de Tyrie, mais ça avait été l'Académie Nolani et il faut dire de la Tyrie connue. Maintenant, la meilleure université de Tyrie devrait se trouver en territoire asura, sans doute à Rata Sum. J'ai ptet un peu exagéré sur la faute de la meillere université connue, mais ça me tenait à coeur.
Par contre, quand tu racontes le contenu du livre : "Expériences militaires, amoureuses, politiques, tout y passait et sans lésiner sur les détails.", j'ai pas pu m'empêcher de penser qu'Ethil lisait un livre porno Oo.
Enfin, j'adore la dernière phrase de Menegoth qui est : "Sur ce, bonne journée".
Voila, j'espère que tu continueras à faire encore plein d'histoires. Saches aussi que je suis plus doué en critiques qu'autre chose (je suis très pointilleux) donc, sans doute que ce que j'estime comme étant des erreurs ne le sont pas pour d'autres.
Vivement la prochaine histoire.
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MessageSujet: Re: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitimeSam 13 Mar - 19:03

Alors j'ai plusieurs points à éclaircir. Ok, la fin est rapide j'ai fatigué...les fautes...j'en voit pas O_o j'utilise word qui les corrige presque toutes.
Pour mon personnage très valorisé....c'est comme le tien lol! . L'os du crâne...touche le haut de ta tête, y a bien un os ? Sinon je sais pas ce que c'est lol! Les Margonites sont allés en Tyrie, au désert de cristal, c'est eux qui ont construits la Rvière assoifée et tout. Et dans Guild Wars ², la Tyrie implique tous les continents, j'ai donc voulu reprendre les écrits de Guild Wars.
En ce qui concerne l'université, il est bien dit en Eden que Ascalon possède la meilleure université de toute la Tyrie avec ses bibliothèques etc...Nolani se trouve à Ascalon, par conséquent ce que je dit est vrai. (Il y a Ascalon, la ville et Ascalon, le Royaume, ce n'est pas ma faute s'ils n'ont pas d'imagination...). La où je suis d'accord c'est sur le avait été, j'avais pas pensé que après qu'Ascalon (le Royaume) fut destroy par les charrs, il n'y ait plus de cours et enseignements à Nolani...pour moi les Ascaloniens n'étaient pas tous des soldats mais maintenant qu'on y repense...ils le sont tous devenus plus ou moins.

Oui, c'est presque du porno, je voulais montrer que c'est vraiment détaillé et que Menegoth ne dit rien d'autre que la vérité sans aucune pudeur.

Le :"Sur ce, bonne journée" vient d'un livre que j'ai lu où un mec après avoir confié une mission extrêmement dur au héros lui dit ça, de quoi déchanter...
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MessageSujet: Re: Le Livre des Rancunes   Le Livre des Rancunes Icon_minitime

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